Les résultas du concour halloween!

Et voilà les résultats!

Texte de kuragi

Citation :

Azkaban, un endroit bien sombre pour n’importe quel sorcier. Les murs humides et le vent violent n’arrangeaient en aucun cas le confort des occupants des cellules. Les détraqueurs n’étaient pas d’une excellente compagnie. Ces derniers gardaient en effet une cellule près de la face nord. Dans cette cellule hautement sécurisée était recroquevillé un garçon aux cheveux blonds.

Un des gardiens regarda le jeune homme vêtu d’habits noirs avec froideur, ce garçon lui faisait pitié.
Le blond leva doucement la tête pour regarder la créature sortie de l’enfer, ses yeux bleus foudroyaient son gardien.
Kuragi détourna la tête pour écouter le bruit de l’écume. De vagues souvenirs le submergeaient lentement mais sûrement.

Comment ai-je fait pour en arriver là ?

Pourtant, Kuragi savait ce qu’il avait fait. Il s’en souvenait parfaitement. Il avait commis des meurtres, des horribles meurtres, du moins c’est ce qu’avaient dit les jurés à son procès. Les jurés s’étaient acharnés contre lui. Kuragi avait tenté de prouver son innocence, mais, rien du tout, l’assemblée avait affirmé qu’il était un serpentard au passé particulièrement lourd et qu’il avait un trouble de la personnalité.

Et depuis un mois, il était dans cette cellule froide et morbide. Sa baguette lui avait été retirée et il sentait sa magie gronder au fin fond de son âme. Il releva rapidement la tête en entendant un bruit contre ses barreaux.

-Kuragi No Yoru ?
-À qui ai-je l’honneur ? Je suppose que ce n’est pas pour me dire que je suis libre, n’est-ce pas ?

L’homme brun regarda Kuragi avec dégoût et haine.

-Surveille tes paroles, misérable ! Je suis le directeur de la prison. Sur ordre du ministère, on t’accorde trois heures de temps libre. Profite, il ne te reste plus beaucoup de temps à vivre.

Kuragi regarda le directeur, choqué par de telles paroles. Le verdict de son procès avait été le baiser du détraqueur. Mais la sentence avait été fixée pour le mois prochain, et Kuragi n’avait aucunement l’envie de mourir. Il avait quelque chose à accomplir pour sa sœur et jamais il ne la laisserait tomber.

-Eh bien, je suppose que je dois vous remercier, mon seigneur.

Le directeur grogna légèrement et ordonna aux détraqueurs de libérer le prisonnier pour l’emmener dans la cour. Sur le chemin, Kuragi arpentait les couloirs froids et sombres de la prison. Son regard fut attiré par le bureau du directeur, la salle où tous les objets magiques et de valeurs étaient stockés.

Mes affaires sont là-bas, ainsi que ma liberté.

-Avance !

Le directeur frappa le dos du jeune homme blond d’un coup de doloris, Kuragi se cambra légèrement sous la douleur. Le reste du chemin se fit dans le silence le plus total.

La cour était sombre et exposée aux éléments. Libéré de ses chaînes, Kuragi observait les nuages noirs et menaçants avec amusement. Il s’agenouilla et repensa à son passé.

Finalement, peut-être que je les tuais toutes ses jeunes filles. Je me demande si elles ont souffert…

Kuragi rigola doucement puis parti dans un fou rire. Le rire se répercuta contre les murs délabrés et froids. Les prisonniers près du centre de la prison frissonnèrent à l’entente de ce rire.
Le jeune homme aux yeux azurs se releva et se retourna vers ses geôliers.

-Ramenez-moi dans ma cellule…

Arrivé dans sa cellule, Kuragi attendit la nuit pour agir.

Si je dois mourir, je préfère mourir à tes cotés, Alice ...

Il regarda la lune et sourit ; ce soir, Kuragi sortirait. D’une façon ou d’une autre.
Il se mit doucement à quatre pattes et se changea en loup. Un louveteau noir remplaçait le jeune homme blond de la cellule. Il attendit patiemment que les détraqueurs partent faire leur ronde. Le louveteau se glissa entre les barreaux et courut dans les escaliers.

Le bureau … Où est ce foutu bureau ?

Après quelques minutes de recherches qui furent bien longues pour le pauvre animagus, Kuragi arriva enfin devant la porte qui lui offrait la liberté. Il vit qu’une des fenêtres donnant sur le couloir était ouverte. D’un saut léger, il pénétra dans la pièce. Le louveteau inspecta la pièce avec attention, les registres des condamnés à mort étaient grand ouverts sur le bureau. Voulant savoir la date de sa mort, Kuragi jeta un œil.

Bon, on est en août et je dois mourir le mois prochain donc en septembre. Alors… Alors… Voyons… Hum… Ah ! Trouvé !

Il avait trouvé sa date de mort, le 13 septembre. Il regarda un instant la date et arracha la page avec rage.

Pas question de mourir le jour de ton anniversaire, petite sœur.


Kuragi fouilla rapidement dans les tiroirs quand une voix résonna dans les couloirs de la prison.

-Le prisonnier Kuragi No Yoru vient de s’échapper ! Fermez toute les issues ! Ne laissez rien passer !

Kuragi attrapa sa baguette et la fit disparaître dans son pelage. Il sortit de la même façon qu’il était entré et courut dans les couloirs aussi vite que possible, il savait qu’il avait les détraqueurs à ses trousses, qu’il n’avait peut-être aucune chance. Mais l’espoir de sortir et de revoir sa tendre sœur Alice lui donnait du courage, il tenta de semer ses poursuivants en passant par l’aile des femmes. Les femmes le regardèrent passer avec amusement et elles reculèrent au passage des gardiens, Kuragi regarda un instant autour de lui. Tout les couloirs se ressemblaient pour lui, il sentit soudain de l’air sur sa gauche, il tourna rapidement et se retrouva devant l’océan qui bordait la prison de pierre.

Il reprit sa forme humaine et attrapa sa baguette. Kuragi regarda la lune et murmura.

-On dit que l’on peut faire beaucoup de choses par amour, même traverser la mort.

Une larme coula doucement sur sa joue.

-Je n’ai pas peur car je sais que les bras d’Alice me rattraperont.

Le directeur regardait le jeune homme parler, il n’eut pas le temps de faire le moindre geste que Kuragi s’était jeté dans le vide.

Kuragi vit le visage du directeur et sourit, les murs de la prison défilaient devant lui à une vitesse folle. Il ne sentit pas l’impact quand il percuta les roches.

Le directeur regardait son condamné étendu sur les roches. Il vit une petite enveloppe contenant une photo et un article de journal sur le meurtre d’une jeune fille. Au dos de la photo, il y avait une petite note.

« Je te rejoins Alice, car le rêve doit prendre fin …»

Kratos:

Citation :

J’ai des cheveux rouges toujours en bataille, les yeux marron tirant sur le rouge et un visage fin. Lorsque je me regarde dans une glace, j’ai l’impression d’être une jeune fille. Pourtant, je suis un garçon de dix ans
Je vis avec ma mère et mon petit frère, Zelos, qui lui à 4 ans. Beaucoup disent qu’on se ressemble mais moi je ne trouve pas. D’accord il à les cheveux aussi décoiffé comme moi, peut-être un peu mieux, mais lui il les a bruns, il ressemble plus à un garçon. Ma mère à la même couleur de cheveux que moi, et mon visage. En fait c’est plutôt moi qui est son visage. Elle me dit que mon père nous a quitté, mais moi je pense plutôt qu’il est mort et qu’elle ne veut pas me le dire.
Aujourd’hui, c’est mon anniversaire. Je vais enfin avoir dix ans. Maman m’a fait comme elle me l’avait promis, un gâteau à la fraise J’adore ce fruit. J’adore sa couleur rouge, son jus fruité et ses petites graines. Mes ce que je préfère c’est le moment des cadeaux. Il y avait trois paquets. Tous emballés dans un beau papier brillant rouge entouré d’un ruban doré. Le premier contenait un pendentif gravé à mon nom. Le second, assez gros devait être ce que je voulais tant. Je l’ouvre, et, je regarde. Oui, c’est ça, un livre sur les créatures fantastiques. J’ai toujours aimé ce genre de chose, même que des fois, je voudrais que la magie existe vraiment.
J’allais pour ouvrir mon dernier paquet quand maman posa sa main sur mon bras et me dit :
-Celui là on l’ouvrira demain, pour qu’on soit le vrai jour de ton anniversaire.

Déçu, j’obéi puis me lève embrasse ma mère pour la remercier, puis mon frère. Seulement, je suis frustré de ne pas avoir put ouvrir mon troisième cadeau, d’accord, on n’est que le 28 et que mon anniversaire c’est le 29 mais bon. Normalement, on fait tout en même temps.
Enfin, maman m’a dit d’aller nous coucher. Je m’endors très rapidement, en repensant à tous les cadeaux qui m’ont été offert, le visage de ma mère dans la tête.
Minuit ; je me réveille, en sueur, j’ai dû faire un cauchemar.
Je descends alors pour prendre un verre, et j’entre dans la cuisine. Il fait tout noir très noir. Je ressens un frisson glacial dans mon dos. Je me retourne brusquement. Quelque chose bouge. Comme un fantôme. Je m’approche. Un hurlement glacial se fait entendre. J’ai peur. Je touche le fantôme...
Ce n’est que le rideau de la porte fenêtre. Pourquoi était-elle ouverte ? Normalement elle et toujours fermée.
La pleine Lune brille dehors ; les arbres que j’aperçois dehors bougent et se plient au gré du vent qui force dehors. Les volets grincent. Cela me rappelle le train fantôme que j’avais fait avec maman.
Je continue d’avancer et à chaque pas, j’ai l’impression de marcher dans de l’eau. La Lune me fait apercevoir dans quoi je marche. De l’eau toute noire. Pourtant, personne n’avait renversé quelque chose pendant mon anniversaire et puis il n’y avait que de l’eau.
Je continue de m’avancer, quand je vois une forme baigner dans ce liquide. Je m’avance, et je touche...
La chose se retourne.
Je retiens un cri.
« Maman. »
Un orage éclate illuminant la cuisine. Alors je vois ma mère allongée, comme si elle dormait, un poignard dans le ventre, sa robe blanche devenue rouge de sang et les boyaux en charpies, ressortant du ventre. Ses yeux bleus ne sont plus que deux billes blanches sans vie. Du sang coule en abondance dans toute la cuisine et au dessus, un crâne a été dessiné avec son sang.
Là la lumière faite par l’éclair s’estompe. Je suis dans le noir.
Sur la lune, je vois comme un visage me sourire sadiquement.
J’ai peur...
Zelos ! Je sorts de la cuisine et courts vers l’escalier. Je suis en bas et je regarde en haut. J’aperçois du mouvement. Alors, je vois... un visage, celui de ma mère. Je monte en essayant de le rejoindre, mais il se fait toujours plus loin. J’entends des voix :
« Viens avec moi, viens connaître l’éternel. »
Je cours toujours. Enfin Je suis tout près du fantôme de ma mère. Mais, lorsque je fus à un mètre d’elle, elle se métamorphose et devient un crâne. Lumineux, qui rigole et me fonce dedans.
Je tombe.
J’ai le temps de le revoir.
Le crane s’est métamorphosé en une personne qui me regarde m’évanouir... j’en suis sûr. J’ai déjà vu cette personne...

Je me réveille, il fait déjà jour. J’ai comme un mal de tête. Je me relève. J’ai le tournis. Je me sens mieux. Je retourne dans la cuisine pour voir si ce qui s’était passé hier n’était qu’un rêve.
Non. Je revois ma mère baigner dans son sang. Cette fois-ci, c’est même pire ; des petites fourmis en plein travaille pénètre et sortent par sa bouche, ses yeux sont devenus encore plus vide et son squelette était visible. J’ai envie de vomir.
Prit de panique, je monte les escaliers le plus vite possible. J’ouvre et entre dans la chambre de mon frère. Il se réveille en sursaut.
-Zelos, vite prépare toi on doit partir !
Au début il ne fit rien. Alors, je le pressai et lorsqu’il fut prêt, on s’enfuit de la maison. Me demandant ce qui se passait, je lui expliquai alors que maman était mort et que son assassin allait sûrement revenir.
Nous n’avons nul part où aller. Nous n’avions aucune famille.
Zelos était épuisé. On avait marché pendant des heures. Malgré mes encouragements, il n’en pouvait plus. Je le portai alors sur mes épaules.
Enfin ! Un refuge. C’est une vieille cabane et à l’intérieur, on pourrait penser que tout va se casser. Il n’y a qu’un seul lit. Je couche mon frère. Il dort déjà. Moi, je m’allonge par terre. Malgré que ce soit inconfortable, je réussis à m’endormir.
Je rêve. Ma mère est devant moi. Elle m’appelle, je cours vers elle. Lorsque je suis à quelques mètres d’elle, elle se retransforme : un crâne ! Il me passe à travers ! Je me réveille en sursaut.
Pendant une semaine, nous sommes resté ici. Tous les soirs, je faisais ce cauchemar. Tous les soirs je pleurais.
Mais, après une autre semaine, nous n’avons plus rien. Alors, je décidai de partir en ville, mais sans Zelos.
Je ne sais pas si j’avais fait le bon choix. Mais il était trop tard.
Je suis en ville. Tout est grand. Je ne m’étais jamais senti aussi seul et petit. Dans le métro, tout devient flou ; les gens me paraissent de plus en plus être des méchants. D’abord, je revois ma mère en eux. Mais dès que je m’approche d’eux, je vois ce crâne sur leur visage.
Des démons. Ils me regardent. Je cours vers la sortie. Maman reviens !
Je ne sais plus où je suis. J’arrive dans un endroit où la route n’est plus que de la terre, les gens semblent mourir sur place. Tous ceux qui sont encore jeunes ont un couteau dans leur main.
Je ne m’arrête pas. Une intersection, une deuxième, je suis perdu. Je m’arrête. Je reprends mon souffle. Des gens parlent. Je regarde. Je vois un homme en long manteau noir, les cheveux longs noirs aussi. Soudain, mon esprit remémore !
Je revois la photo de famille
Je revois l’assassin de ma mère
Je revois celui qui me faisait sauter dans ses bras alors que j’étais seulement un bébé.
Papa !
C’est lui ! Il a tué maman ! C’est mon père !
Il entend mon souffle se retourne. Il m’a vu. J’ai peur. Je m’enfui. Je n’ose même pas me retourner mais je sais qu’il est là. J’arrive dans un terrain vague vide. Alors, un cercle de flamme m’entoure et me bloque.
Un rire. J’ai peur. Mon père franchit les flammes. Il est devant moi...
-Tu croyais réussir à me fuir ! Tu vas subir le même sort que ta mère.
Alors, il pinte son doigt vers moi, et une lance de flamme en surgit, fonçant sur moi. Mon réflexe ; me protéger avec les bras.
J’ai l’impression que le temps s’est arrêté. C’est long. Enfin. Je ressens la lance. Je ne pense qu’à une chose : Zelos...
Est ce cela d’être mort ?
Tout est froid. Triste. Plus rien ne bouge.
Une vie gâchée pour rien...

Franchement c'était dur à choisir! si il y avait plus de texte je vous aurez mis tout les deux exégaux mais voilà il faut un gagnant =) Kuragi c'est ton texte que j'ai choisis! j'aime bien la façon dont tu as mis tes personnage en scène même si tu as repris les lieux d'harry potter! tu choisis ce que tu veux comme récompense.

kratos ton texte est aussi très bien, dommage que tu ne l'a pas changé comme je te l'avais dis! en tout cas bravo à vous deux!

ouai c'est sur :s

ce serait encore mieux en film ces textes !

C'est bien la première fois que je gagne un concours d'écriture...
Franchement j'aime bien ton texte Kratos.

Pour la récompense, je n'ai franchement aucune idée. A toi de voir ^^

XD kuragi vue que tu as un blog je pourrai le mettre en page d'accueil pour te faire la pub qu'est ce que t'en pense?

Une signature pour Kuragi ? Je pense que sa suffira XD avec des images de vocaloid Len Kagamine si c'est possible XD

Pourquoi pas ? XD

si tu veux que je te fasse un kit avatar signature (ou signature simple) pas de problème =) (si tu as des images je veux bien)

J'en est quelques unes

kratos = je n'arrive pas à trouver de belles images qui me convienne >_<'

kuragi= tu peux me les passer?

Je te passe les sites :

http://www.zerochan.net/Kagamine+Len?p=2

http://www.zerochan.net/Kagamine+Len

C'est là ou je péche mes images

elles sont trop belle les images ^^ d'ici demain ou se soir tu l'auras =)

Merci^^

XD

tu aimes l'image là?

Elle est superbe*+* (bave devant son écran)

ok je vais te faire le kit avec alors ^^ veut tu que j'écrive ton pseudo dessus (faut que tu m'indique pour lequel XD)

Celui de Kuragi, c'est une signature pour ce forum XD

ok x)

1er essaie: